- Questo atto è accompagnato da sua sorella Melanie Alves da Silva RG 36158662, informa che effettivamente partecipato alla rapina DISTRIBUTORE DI BENZINA Tour Fortaleza, in data 11 aprile 2012, insieme a suo fratello, Jonathan Smith Arakaki, il ha preso pieno 90 reais. Il giorno del dichiarante era rapine a mano armata e suo fratello Jonathan è stato come un esploratore, e dare sicurezza per attività criminali. Sui fatti il dichiarante ha mostrato la pistola nella cintura e ha ordinato la mano addetto il denaro ed il dichiarante ha preso i soldi e fuggite. L'arma utilizzata nel delitto dichiarante venduta a un estraneo. 'Dispiace.
quarta-feira, 21 de novembro de 2012
DISTRIBUTORE DI BENZINA
Testimonianza presa da Scribe Valdemir Mota de Menezes.
terça-feira, 20 de novembro de 2012
VEHICLE WITH SIGNS IDENTIFYING ADULTERARED
Testimony taken by Scribe Valdemir Mota de Menezes, the police station where he works.
Attend the civil police Mauricio Gatto and Ricardo Felix, stating that they received anonymous denunciation realized that the location of the crime was a vehicle with signs identifying adulterated. When they arrived at the site they found the vehicle Fiat / Uno whose original plates were ARQ 5342/Paranavai/PR tampering with the plates, which was number three, the number was changed to eight, with the tape loose. Vehicle photographed and released to its owner. The landlord claims that it misrepresented the plates. nothing else
Attend the civil police Mauricio Gatto and Ricardo Felix, stating that they received anonymous denunciation realized that the location of the crime was a vehicle with signs identifying adulterated. When they arrived at the site they found the vehicle Fiat / Uno whose original plates were ARQ 5342/Paranavai/PR tampering with the plates, which was number three, the number was changed to eight, with the tape loose. Vehicle photographed and released to its owner. The landlord claims that it misrepresented the plates. nothing else
VOL D' ARGENT DE TRAITEMENT DE CANCER DES ENFANTS
Témoignage recueilli par Scribe Valdemir Mota Menezes, le poste de police où il travaille.
Victime assiste à ce policier de service qui communiquait avec sa moto garée tout en recevant des dons d'une personne parce que la victime travaille pour un traitement à domicile des enfants atteints de cancer quand il a été approché par deux individus approchés et l'un d'eux avec une arme à feu exigé contributions en argent de la victime. Le duo a pris les 90 reais, qui était dans le coffre de la moto et également soustrait l'imperméable, qui était emballé dans le coffre. Encore pris la clé de la moto, promettant qu'il joue dans le coin. Que fait réellement. Axée sur la victime examiner les albums photographiques de cette station. rien d'autre
Victime assiste à ce policier de service qui communiquait avec sa moto garée tout en recevant des dons d'une personne parce que la victime travaille pour un traitement à domicile des enfants atteints de cancer quand il a été approché par deux individus approchés et l'un d'eux avec une arme à feu exigé contributions en argent de la victime. Le duo a pris les 90 reais, qui était dans le coffre de la moto et également soustrait l'imperméable, qui était emballé dans le coffre. Encore pris la clé de la moto, promettant qu'il joue dans le coin. Que fait réellement. Axée sur la victime examiner les albums photographiques de cette station. rien d'autre
segunda-feira, 19 de novembro de 2012
VOL DE FORGONNETTE DES POSTES
Le Scribe Valdemir Mota de Menezes a fait ce rapport pour le juge, le poste de police où il travaille:
Cette enquête a été initiée par soi dans l'acte d'emprisonnement pour le délit de vol, tels qu'ils figurent dans les documents que Luiz Henrique da Cruz, en compagnie de Wallasse Sandro da Silva et l'autre avec de graves menaces et intimidations se rendit le conducteur de la fourgonnette brésilienne des postes et l'ont forcé à prendre l'uniforme société, en passant Luiz Henrique da Cruz et de porter cet uniforme et a ensuite pris la même direction que le véhicule se dirige à la maison de Wallasse où il a été le déchargement des marchandises dans la maison son partenaire. Pendant ce temps, le chauffeur est venu Renato sous la garde d'une bande de criminels. Mais le crime n'a pas eu lieu parce que la police militaire sont arrivés au domicile de Wallasse flagrando il avec Luiz déchargement des 92 conteneurs de messages, le Wallasse réussi à s'échapper, mais Luiz, même en essayant de s'échapper en sautant les murs et les maisons, a été arrêté.
Les députés ont entendu (pages 2-5). La Renato Batista da Silva a été rendu tel qu'il est raconté par la bande (fls 6). Luiz Henrique a avoué le crime, mais a dit pour sa défense qu'il n'était pas armé (fls 7), ont déjà une histoire de vol de plusieurs années de se faire arrêter pour le même crime (pages 13-23). Photo Luiz (fls 24). Auto Delivery (fls 25) Autos d'évaluation (pages 26-27), à la saisie automatique (fls 28). Photocopie de Luiz ID (fls 29). La culpabilité Note (fls 30). Demande IML (fls 31). Mise en accusation formelle de Luzi (pages 32-33). RG et le réserviste et Wallasse photos (pages 34-35). Bureaux de communiquer aux autorités compétentes de prison de Luiz (pages 36-39).
Donc, je transmet l'espèce, la haute appréciation de Votre Excellence pour l'action appropriée.
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Témoignage recueilli par Scribe Valdemir Mota Menezes, le poste de police où il travaille.
Assister les ci-dessus qualifiés de la police militaire indiquant qu'il a été alerté par la radio de la police qu'il y avait un vol à la véhicule de livraison bureau de poste, une camionnette, et a commencé à faire des patrouilles dans le quartier, ayant réussi à trouver le van en face de la résidence du numéro 165, Quelle est la Wallasse maison, l'un des participants de la criminalité. A la vue de la police, le Wallace et Luiz couru dans la maison et se sont enfuis du fonds, d'autres véhicules sont rapidement arrivés sur les lieux et fait le siège, après avoir déjà détenu Luiz rue Quarante-trois, qui traverse la rue. l'Wallasse n'a pas été trouvé. Cependant intérieur de sa résidence qui se trouvait a été les documents ouverts, des photos et des biens qui avaient été stockés à l'intérieur de la propriété. Le conducteur de la Société postal Wallasse vu les photos et reconnu comme l'un des criminels. Il faisait des livraisons dans Central Av devant le numéro 685 en Continental Park. quand il a été approché par trois individus à vélo, le Renato pilote a été transporté à l'aérogare en équipage, la Humaita, Rua Sœur Maria Rita, conduisant un vélo, alors que cette Luiz marginaux nommés, a saisi la chemise de l'entreprise et a été conduite messages la camionnette. Dans Terminal victime était sous la tutelle d'un marginal, tandis que les voleurs nommés Luiz qui est arrêtée maintenant et Wallasse que le conducteur a reconnu gauche sur la photo avec le van. Vingt minutes plus tard, ce bandit qui tenait la victime sous sa garde, après avoir parlé avec Nextel les autres membres du gang, et de voir l'aigle volant en hélicoptère au-dessus de la région, a décidé de fuir. En ce moment la police a demandé de l'aide. Luiz a été réservé dans l'acte et envoyé à la CDP. La fourgonnette et tous les biens ont été saisis et remis à la victime. Rien de plus.
Cette enquête a été initiée par soi dans l'acte d'emprisonnement pour le délit de vol, tels qu'ils figurent dans les documents que Luiz Henrique da Cruz, en compagnie de Wallasse Sandro da Silva et l'autre avec de graves menaces et intimidations se rendit le conducteur de la fourgonnette brésilienne des postes et l'ont forcé à prendre l'uniforme société, en passant Luiz Henrique da Cruz et de porter cet uniforme et a ensuite pris la même direction que le véhicule se dirige à la maison de Wallasse où il a été le déchargement des marchandises dans la maison son partenaire. Pendant ce temps, le chauffeur est venu Renato sous la garde d'une bande de criminels. Mais le crime n'a pas eu lieu parce que la police militaire sont arrivés au domicile de Wallasse flagrando il avec Luiz déchargement des 92 conteneurs de messages, le Wallasse réussi à s'échapper, mais Luiz, même en essayant de s'échapper en sautant les murs et les maisons, a été arrêté.
Les députés ont entendu (pages 2-5). La Renato Batista da Silva a été rendu tel qu'il est raconté par la bande (fls 6). Luiz Henrique a avoué le crime, mais a dit pour sa défense qu'il n'était pas armé (fls 7), ont déjà une histoire de vol de plusieurs années de se faire arrêter pour le même crime (pages 13-23). Photo Luiz (fls 24). Auto Delivery (fls 25) Autos d'évaluation (pages 26-27), à la saisie automatique (fls 28). Photocopie de Luiz ID (fls 29). La culpabilité Note (fls 30). Demande IML (fls 31). Mise en accusation formelle de Luzi (pages 32-33). RG et le réserviste et Wallasse photos (pages 34-35). Bureaux de communiquer aux autorités compétentes de prison de Luiz (pages 36-39).
Donc, je transmet l'espèce, la haute appréciation de Votre Excellence pour l'action appropriée.
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Témoignage recueilli par Scribe Valdemir Mota Menezes, le poste de police où il travaille.
Assister les ci-dessus qualifiés de la police militaire indiquant qu'il a été alerté par la radio de la police qu'il y avait un vol à la véhicule de livraison bureau de poste, une camionnette, et a commencé à faire des patrouilles dans le quartier, ayant réussi à trouver le van en face de la résidence du numéro 165, Quelle est la Wallasse maison, l'un des participants de la criminalité. A la vue de la police, le Wallace et Luiz couru dans la maison et se sont enfuis du fonds, d'autres véhicules sont rapidement arrivés sur les lieux et fait le siège, après avoir déjà détenu Luiz rue Quarante-trois, qui traverse la rue. l'Wallasse n'a pas été trouvé. Cependant intérieur de sa résidence qui se trouvait a été les documents ouverts, des photos et des biens qui avaient été stockés à l'intérieur de la propriété. Le conducteur de la Société postal Wallasse vu les photos et reconnu comme l'un des criminels. Il faisait des livraisons dans Central Av devant le numéro 685 en Continental Park. quand il a été approché par trois individus à vélo, le Renato pilote a été transporté à l'aérogare en équipage, la Humaita, Rua Sœur Maria Rita, conduisant un vélo, alors que cette Luiz marginaux nommés, a saisi la chemise de l'entreprise et a été conduite messages la camionnette. Dans Terminal victime était sous la tutelle d'un marginal, tandis que les voleurs nommés Luiz qui est arrêtée maintenant et Wallasse que le conducteur a reconnu gauche sur la photo avec le van. Vingt minutes plus tard, ce bandit qui tenait la victime sous sa garde, après avoir parlé avec Nextel les autres membres du gang, et de voir l'aigle volant en hélicoptère au-dessus de la région, a décidé de fuir. En ce moment la police a demandé de l'aide. Luiz a été réservé dans l'acte et envoyé à la CDP. La fourgonnette et tous les biens ont été saisis et remis à la victime. Rien de plus.
CRIMINEL EN VÉLO
Les Scribe Valdemir Mota Menezes a pris cette déclaration au poste de police où elle travaille:
Victime assiste à ce devoir de la police affirmant qu'il faisait collections dans certaines maisons parce que la victime travaille dans la vente de lingerie. Quand j'étais sur le seuil d'un client, les deux garçons sont arrivés à vélo et l'un d'eux est descendu avec un pistolet noir dans sa main et demandé de l'argent de la victime, et la victime a remis plus de sept cents reais et un sac avec soixante pièces de lingerie, d'une valeur de environ sept cents dollars. Puis se sont enfuis sur le vélo. Victime a observé les albums photo et cette enceinte ne reconnaissait pas les criminels. Rien de plus.
Victime assiste à ce devoir de la police affirmant qu'il faisait collections dans certaines maisons parce que la victime travaille dans la vente de lingerie. Quand j'étais sur le seuil d'un client, les deux garçons sont arrivés à vélo et l'un d'eux est descendu avec un pistolet noir dans sa main et demandé de l'argent de la victime, et la victime a remis plus de sept cents reais et un sac avec soixante pièces de lingerie, d'une valeur de environ sept cents dollars. Puis se sont enfuis sur le vélo. Victime a observé les albums photo et cette enceinte ne reconnaissait pas les criminels. Rien de plus.
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